Les deux groupes miniers s'accordent pour fusionner au sein d’une entité valorisée à 53 milliards $. Anglo Teck sera domiciliée à Vancouver, mais conservera une cotation principale à la Bourse de Londres et des cotations secondaires à Johannesburg, Vancouver et New York. :contentReference[oaicite:5]{index=5}
Les actionnaires d’Anglo-American détiendront 62,4 % de l’entreprise fusionnée, tandis que ceux de Teck en détiennent 37,6 %. Un dividende exceptionnel de 4,5 milliards $ sera versé aux investisseurs d’Anglo avant la finalisation de la fusion. :contentReference[oaicite:6]{index=6}
Les synergies attendues permettront d’économiser environ 800 millions $ par an d’ici quatre ans, grâce à l’optimisation des opérations et la rationalisation des activités au Chili et au Canada. :contentReference[oaicite:7]{index=7}
Le siège social sera implanté à Vancouver. Le CEO d’Anglo, Duncan Wanblad, dirigera la nouvelle structure, tandis que Jonathan Price, CEO de Teck, en deviendra le directeur adjoint. Une fusion présentée comme équilibrée, tout en consolidant le contrôle canadien sur les ressources stratégiques. :contentReference[oaicite:8]{index=8}
Points Clés pour les Entreprises Canadiennes
- Renforcement du rôle du Canada dans la chaîne mondiale du cuivre, pivot pour les technologies vertes.
- Valorisation de Vancouver comme centre exécutif et économique d’envergure internationale.
- Structure conforme aux cadres réglementaires canadiens favorisant l’influence nationale dans le secteur minier.
- Efficiencies financières importantes pour le nouvel ensemble, avec des retombées potentielles dans l’ensemble de la filière.
- Surveillance nécessaire du processus d’approbation et des impacts à long terme sur l’emploi et les activités minières.
Source: The Guardian, Financial Times, WSJ et autres.
